I° Les méthodes de la censure

Au niveau Internet : 

Aujourd’hui, les sites internet reçoivent beaucoup de visites, que ce soit pour un but personnel ou professionnel. La censure est donc présente dans ce média très vaste en information bonnes ou mauvaises, sans la censure on aurait accès a tout et n’importe quoi. Les censeurs fixent donc une barrière en mettant en place des systèmes de filtrage qui empêchent un accès à la “source” des sites. 

On y trouve une méthode comme le blocage IP par routeur et la redirection dns*. La censure peut aller jusqu’à la suppression du site internet en cas d’un grave abus. Dans certains pays comme l’Egypte certains blogueurs ont même étaient arrêtés par l’état. Certains moteurs de recherche (Google, Yahoo) retirent souvent des mots clés de leur résultats comme “pédophilie” et “racisme”, mais aussi des pages contenant des idées politiques trop extrêmes en France et en Allemagne par exemple. Ces méthodes sont différentes d’un pays à l’autre. Le but des censeurs est de réguler internet, pas de l’interdire. Certaines associations s’y opposent comme les Reportes sans frontières. 

Voici une vidéo qui montre la révolte des tunisiens contre la censure, qui est fréquente dans les pays du Maghreb : 

Au niveau Cinématographique : 

Dans l’industrie cinématographique la censure est appliqué en passant  du film à une affiche en passant par un scénario. 

La plus étonnante des censures est l’interdiction du films, après être passé devant un jury celui ci doit decider si le films peut être vu ou pas, et si il a besoin de limites d’age. La destruction du film est une méthode plus radicale qui est assez rare. Se sont les deux méthodes les plus extremes. Les censeurs peuvent aussi couper des scènes trop violentes ou non appropriés au public. Mais aussi la modification de certains dialogues et du scénario. Certains financier trouvant le films non approprié peuvent refuser le financement du projet, l’industrie photographique peut aussi refuser l’autorisation. Si le réalisateur persiste des émeutes et des manifestations peuvent avoir lieu. Les journalistes peuvent eux aussi se révolter en organisant des campagnes de presse qui donneront une image néfaste du film.